Le jour où la catastrophe eut lieu, Bassem se rendait à l’école. Il n’y avait plus que ruines autour de lui. Autant dire rien... Soudain, dans le silence qui succédait toujours aux déflagrations, il entendit une musique. Au sommet des gravats, un piano. Assis devant l’instrument, un jeune homme jouait... Un texte qui donne de l'espoir grâce à l’art et au jeu, même au sein d’un contexte infiniment tragique.
Ma chronique :
Bassem vient de tout perdre en l'espace d'un seul instant. Les bombes ont tout détruit sur leur passage et lui ont arraché sa famille. Une tragédie qui va le pousser à arpenter les rues en ruine pour trouver d'autres rescapés et s'unir pour survivre. Cette solidarité va panser leur plaie béante et leur permettre de retrouver un peu d'humanité dans tout ce chaos. J'ai été extrêmement touchée par cet album. L'histoire de Bassem est bouleversante. On voit un autre visage de la guerre : celui des rescapés juste après une hécatombe car tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir. Il est accessible dès 8 ans et touchera chaque lecteur qui décide de partager l'histoire de ce jeune héros. Je ne peux que vous inviter à la découvrir également, vous allez en ressortir marquer.
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